Profitez de vos congés pour faire les transformations que vous sentez nécessaires

Le moment des congés est souvent un moment de grandes remises en question.

Nous rencontrons des états critiques que nous nous efforçons de nier et de mettre « sous le tapis » le reste de l’année, pour pouvoir « fonctionner » et être un bon conjoint, un bon parent, un bon collègue, etc.

Pendant les congés, beaucoup de choses ressortent, les non-dits, les frustrations, le ras-le-bol de ne pas pouvoir être soi-même et de faire mille et un compromis le reste de l’année pour « tenir le coup ». Quand c’est le cas, le moment des congés est alors un moment de crises. Nous avons besoin de vider un trop plein d’émotions retenues. On n’en peut plus, on en a marre, on se sent coincé.

«  La transformation, est un processus et comme tout processus, on a l’impression d’être sur un bateau et de tanguer, ce qui n’est pas problème. Refuser de tanguer c’est refuser la transformation. »

Si cela vous arrive

Si cela vous arrive, ne culpabilisez pas, c’est un processus normal qui vous indique de prendre soin de vous, de vous écouter, d’oser aller vers la personne que vous êtes en réalité. Il ne s’agit pas de procéder n’importe comment évidemment. Mais avec bienveillance. C’est vous qui êtes concernée. Les autres ne sont que des révélateurs d’une situation qui montre votre mal-être. La question que vous vous posez alors – comme nous tous- face aux souffrances, difficultés, conflits, problèmes, que vous rencontrez, c’est comment réussir à les résoudre, donc à les transformer, pour ne pas en rester prisonniers.

Comment je vous accompagne ?

Je réponds à cette question dans mon dernier livre en allant et à aller à la racine même de ce qui permet de transformer les situations et relations qui provoquent en nous des souffrances.

Le processus de transformation que je propose s’appuie sur ce qui se passe. On ne rejette rien, on ne refuse rien de la situation rencontrée puisqu’elle témoigne de notre manière d’être et de nous positionner dans notre quotidien et on se met en rapport avec son cœur et ses tripes à ce qui se passe en soi, pour s’y relier et le transformer.

« Transformer, c’est passer d’un état, à un autre.  Il s’agit donc ici de passer d’un état dans lequel on est bloqué dans une souffrance, à un état dans lequel on cesse d’être le jouet, d’une situation ou d’une relation. Ce processus passe par le corps. Aucune transformation, qu’elle soit physique ou psychique, ne peut se faire tant que nous sommes vivants, sans passer par le corps, et cela qu’il soit en bonne santé ou pas. »

Bel été

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